Des scientifiques de l’EPFL, du MIT et du CEA Saclay, publiant dans Science Advances, démontrent un état de vibration qui existe simultanément à deux moments différents, et apportent la preuve de cette superposition quantique en mesurant la forme la plus forte de corrélations quantiques entre des faisceaux lumineux qui interagissent avec la vibration.
https://www.rtflash.fr/quand-lumiere-...omes-partagent-meme-vibration/article
Vote 0
Dans l’approche du physicien britannique, chaque état d’une superposition déforme de façon différente l’espace-temps, parce qu’elle correspond à une position ou une énergie différente. Mais la superposition de ces configurations est instable et conduit in fine à la réduction à un seul état. Plus un objet est massif, plus la situation est instable et s’effondre rapidement.
Dans le modèle de Diósi-Penrose, les deux états superposés déforment l'espace-temps de façon différente. La particule est alors soumise à une agitation, comparable à un mouvement brownien. Si elle est chargée, elle émet aussi un rayonnement.
Comme le champ gravitationnel est constamment animé de fluctuations (une sorte de bruit de fond), des particules baignant dans ce milieu sont soumises en permanence à des accélérations et des décélérations. Cette agitation induit un faible échauffement de la matière. En outre, si les particules sont chargées, elles émettent un rayonnement, en particulier dans la gamme des rayons X. Ces effets offrent deux façons de tester la théorie, l’idée étant de parvenir à mesurer cet échauffement ou ce rayonnement, d’en déduire une valeur expérimentale du rayon de collapse et de voir si elle est cohérente avec la valeur théorique.
https://www.pourlascience.fr/sd/physi...e-a-lepreuve-de-lexperience-20249.php
Vote 0